L’arrivée des réseaux sociaux sur le web a fortement bouleversé l’environnement au point de voir des entreprises délaisser ou même abandonner leur site internet. Est-ce une bonne stratégie ? Même si, à court terme, cela peut sembler bénéfique, à long terme, cela semble très risqué. Pourquoi ? Les réseaux et médias sociaux vous proposent un espace pour que vous puissiez communiquer, et bien utilisé, ça va favoriser votre visibilité et parfois ouvrir des possibilités jusque là inaccessibles ou très couteuses. Mais, et c’est très important de ne pas l’oublier, ces plateformes ne vous appartiennent pas, vous ne pouvez pas en définir réellement les règles. Votre contenu pourrait être bloqué du jour au lendemain parce qu’il ne respecte pas les règles, elles-mêmes très changeantes. Un site web vous permet de mieux référencer vos contenus, vos produits, vos offres, vos services et/ou vos prestations. Vous pourrez toujours partager des contenus sur les plateformes sociales mais en vous assurant qu’il y ait toujours la possibilité des les retrouver sur votre site internet. Les moteurs de recherche, il ne faut pas l’oublier, n’indexent pas ou très mal les contenus partagés sur les réseaux sociaux. Pensez-y avant de fermer votre site internet ! Si vos objectifs ne nécessitent pas un site internet, cet investissement semblera, en effet, de trop dans votre stratégie. Concentrez-vous alors sur ces plateformes. Mais si vos objectifs de ventes, de prospections ou de communication sont ambitieux, il sera difficile de se passer d’un site pour contrôler votre identité numérique.
Pourquoi il ne faut pas prendre un stagiaire comme community manager ?
L’erreur la plus souvent commise en communication est de refiler les clés de la maison à un stagiaire. Le community manager a entre ses mains toute l’identité digitale de votre structure. C’est un poste à responsabilité qui nécessite une bonne connaissance de la structure, de sa manière de communiquer et donc de sa stratégie et qui demande aussi une bonne maîtrise d’outils et de plateformes sociales. Par contre, si vous externalisez une partie des tâches, il n’est pas nécessaire d’avoir un community manager à plein temps. Il faudra bien organiser ses temps de présence pour animer les communautés avant, pendant et après des événements. Il est possible, en parallèle, d’automatiser certaines tâches ou de nous les confier pour que, justement, le community manager se concentre sur les relations publiques, par exemple.
Est-ce que je dois ouvrir un compte sur tous les réseaux sociaux ?
Il est important de se concentrer sur les plateformes sociales les plus utilisées par vos publics. Vous serez donc actif sur quelques plateformes qui offriront le plus de viralité pour vos contenus. Parfois, sous un mode automatique, certains comptes ou certaines plateformes peuvent être simplement alimenter via des applications. Nous savons que ce n’est pas vraiment là que ça se passe mais ça augmente la visibilité. Il faut cependant faire attention, ne pas abuser de l’automation car cela déshumanise la relation. Comme nous ne savons pas quelles plateformes seront utilisées demain, il est nécessaire aussi de suivre ce qui se passe ailleurs et, dans certains cas, de créer des comptes, même s’ils restent inactifs pour que vous ayez votre nom de réservé. C’est là que des prestataires en communication pourront vous être utiles, les réserver pour vous, vous les présenter, comprendre quelles opportunités cela ouvre…
Pourquoi utiliser un service pour les newsletters ?
Les lettres d’informations, pour les structures culturelles, sont des sources d’informations souvent très regardées et très attendues. Il ne faut pas les négliger. Encore faut-il utiliser les bons outils. Envoyer des informations ne sert presque à rien si nous ne pouvons pas en connaître l’impact :
Savoir si les abonnés à la newsletter ouvrent la lettre, cliquent sur les liens, c’est déjà un bon début (il est possible, par exemple de préparer les URLs en fonction des supports et des campagnes pour mieux les distinguer dans Google Analytics > outil de tracking) ;
Déterminer les moments de la journée ou les jours de la semaine qui offrent le plus de visibilité, c’est encore mieux.
Mais aussi, et ce n’est pas négligeable :
Gérer les abonnements et les désabonnements en respectant la RGPD ;
Mettre en place des modèles de newsletters réutilisables et qui respectent votre charte graphique tout en étant adaptés aux différentes tailles d’écran (responsive webdesign) ;
Automatiser certaines tâches (anniversaire des contacts, automation marketing…).
Vous pourrez aussi voir, en fonction des publics ciblés, des contenus, quels courriers provoquent le plus de réactions.
Doit-on avoir un compte ou une page sur Facebook ?
Généralement, il est préférable d’utiliser un compte quand cela représente une personne physique et une page quand cela représente une structure ou une personnalité. De nombreuses structures continuent à communiquer à travers un compte, ce qui, dans certains cas, peut s’avérer chronophage si vous devez accepter comme ami un nombre croissant de personnes. Le plus grand risque cependant, c’est que Facebook suspende votre compte car vous ne respectez pas les règles d’utilisation. Une personne n’est pas « ami » avec une structure mais « fan de ». La page permet d’accéder aussi à des statistiques, à des applications et à une gestion collaborative, ce qui est très utile. Les statistiques que vous pouvez obtenir vous fourniront des données sur votre page mais aussi sur les partages vers votre site. Pour la gestion de la page, il est conseillé d’avoir un compte par administrateur, même si certains administrateurs n’utiliseront ce compte que pour gérer la page. Cela vous évitera d’avoir à partager un compte à plusieurs et de vous retrouver à assumer des contenus postés sur le compte. Cela préserve aussi votre page si le compte administrateur principal se retrouve bloqué ou supprimé. Une page gérée par un compte ne peut être en ligne que si ce compte n’est pas bloqué !
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